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Une fois admis en licence de gestion à l’IAE (Institut d’administration des entreprises) Gustave Eiffel des universités Paris-Est Créteil et Marne-la-Vallée, tout s’est enchaîné très vite pour Rayan Bouadla, 25 ans. Non seulement il a pu entrer dans le très coté master gestion de patrimoine, mais grâce au réseau de l’établissement, il a signé un contrat d’apprentissage à BNP Paribas Banque privée, rémunéré 1.300 euros par mois. Expérience qui a débouché sur un CDI avant même l’obtention de son diplôme. « J’avais hésité à faire une école de commerce après mon DUT, mais c’était compliqué financièrement. Au final, je n’ai aucun regret. L’IAE m’a coûté 300 euros par an de frais d’inscription pour le même niveau d’encadrement, avec des enseignants de qualité et beaucoup d’intervenants extérieurs. Cela m’a également évité de commencer ma carrière avec un prêt sur le dos », explique le jeune homme. Et ce n’est pas fini. Diplômé fin 2013, Rayan Bouadla s’apprête déjà à prendre du galon au sein de son entreprise.
Loin d’être une exception, voilà le genre de parcours qu’offrent les plus efficaces des masters d’économie- gestion. Nombre d’entre eux sont proposés par les IAE, véritables business schools publiques. Il faut dire que ces établissements – il en existe une trentaine – ont de quoi séduire familles et recruteurs. « Nos étudiants n’ont rien à envier à ceux des grandes écoles, et l’IAE est un établissement à taille humai ne où les professeurs connaissent très bien leurs élèves », aime ainsi à rappeler Virginie de Barnier, directrice de celui d’Aix-Marseille.
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